En écoutant les acteurs-locaux (l'Association Touristique et Économique de Cilaos), on apprend que CILAOS voit ses touristes "hôteliers" chuter de l'ordre de -40% depuis le début des vacances-scolaires, contre -9% dans les Bas à la fin de l'hiver, alors qu'à l'époque du chikungunya les touristes montaient et restaient. Et pourtant... les nuisances du tourisme... explosent.!!!

Il y a au contraire trop de touristes à CILAOS: ils se gênent entre eux dans les quelques chemins pris... Il faut sans arrêt dire "bonjour", "bonjour", "bonjour",
CILAOS n'est quasiment plus qu'un parking pour faire une balade en montagne ou un pique-nique, juste pendant que c'est calme et qu'il ne pleut pas encore.!
Il est impossible de trouver la tranquillité car il y a toujours des gens à taper les pierres avec leurs bâtons-de-marche, et c'est plein de crottes et de papier-Q partout, on se sent envahi, on étouffe ici, avec les touristes qui passent en faisant du bruit-en-l'air ou en crottant-dans-les-chemins... Le problème: 10% d'entre eux survolent entre 6 et 10-11h, les autres posent leur voiture à 11h, repartent à 15h, et vont tout juste à la boulangerie et CILAOS ne "bénéficie" que des nuisances...

CILAOS: Un lieu préservé, une oasis de silence loin du bruit et de la fureur du monde moderne.?
Cette qualité-là de CILAOS est bien en berne en effet, alors que "CILAOS" s'en vante encore.. IL FAUT ARRÊTER DE MENTIR OU DE DIRE N'IMPORTE QUOI POUR APPÂTER LE TOURISME... CILAOS n'est plus un lieu calme.! Vous pouvez télécharger des exemples d'ambiances sonores...

À CILAOS on s'ennuie très vite si on ne se nourrit plus du bien-être profond d'une nature-préservée.. Alors, le tourisme baisse et les acteurs-économiques appellent au secours vers les autorités (les subventions, l'argent-public) pour relancer, contrebalancer pour quelques temps, leur activité, plutôt que de changer de politique ou de chemin (de philosophie).

"On est ravi que notre appel-à-l’aide ait été entendu, indique Alain Técher, président de l’ATEC. Il faut arrêter de mentir, le tourisme à La Réunion, ce n’est pas seulement le bleu, c’est aussi du vert".

www.clicanoo.re/?page=archive.consulter&id_article=437548
www.nostalgiereunion.com/linfo/297422-un-nouveau-souffle-pour-le-cirque

"Il faut arrêter de mentir".: De quel mensonge parle-t-il.???

Et quand il parle "du vert", parle t'il du contact avec la verdure et la Nature, ou du paysage vu de loin, de haut, dans le vacarme et avec casque, sans écouter ou tenir compte de tous les oiseaux et des milliers de personnes qu'ils survolent, vivent en dessous d'eux.??.!!
Tout cela a été zappé. L'appel fera venir des subventions pour faire des animations genre calèches de Noël avec des chevaux: plaisant, mais c'est un feu de paille... (la paille étalée par terre est mouillée, remarque... ouf...)

On se retrouve avec 5 heures de Bruit venant du ciel, comme si on était voisin d'une zone aéroportuaire, dans un pays en état de guerre économique, dans une USINE à promener des touristes... CILAOS n'est plus un "havre de paix", c'est une "zone industrielle"... avec un beau paysage certes, mais l'ambiance d'un aéroport autour d'un gros-village qui n'est plus un lieu hétéroclite et charmant, mais un lieu de plus en plus bazar et du "n'importe quoi", de plus en plus lourd et dur à y vivre et le traverser!

AUTRE QUALITÉ EN MAL EXPRIMÉ À RÉPÉTITION: L'ACCUEIL N'EST PLUS LE MÊME. Dans ce contexte où l'on cherche à tirer vers le haut "le luxe et le fric", et à faire circuler un maximum de touristes lâcheur de devises... les touristes se sentent un peu comme des poulets qu'on plume... Ce qui est confirmé d'ailleurs par la campagne publicitaire de l'IRT qui se résume au commentaire spontané "cher ami.. ton île est à vendre!"...

Ce genre de publicité représente TOUT ce que ceux qui sont en recherche d'authenticité, de nature, de patrimoine... FUIENT.
En fait, CILAOS, son cadre de vie vertical, sauvage, naturel est un peu à l'opposé de cette aseptisation publicitaire qui a "applani" le paysage de la Réunion.
Ceux que ça attire ont une attitude de consommateurs.: on visite, on "consomme" puis on s'en va et on oublie car "on n'est pas d'ici", sans avoir tenu compte du respect des autres ni même parfois la flore et la faune durant son passage ou son séjour "on fait ça qu'une fois".

et pour ceux qui sont d'ici? https://www.youtube.com/user/MetaphysiqueDuLetchi : la randonnée

Le public- visé par la pub de l'IRT, s'ennuie, par nature, dans les Hauts, à moins de faire dans le "spectaculaire"... Or le canyonning et le tourisme aérien a ses limites physiques car CILAOS (de même que l'île) est PETIT et on ne peut pas concentrer trop de monde dans des lieux aussi stratégiques pour toute forme de vie (faune et microfaune).

La publicité de l'IRT ne fait pas de Bien à l'Île par ses affichages semblables à ceux pour jus-de-fruit ou bac-à-glace, en présentant un modèle de personne, un consommateur, à qui s'identifier. Sa cible est désormais les touristes "narcissiques" en recherche d'identité à travers CE QU'ILS FONT  qui viennent surtout pour pouvoir se photographier dans les lieux en montrant ce qu'ils ont fait. Plutôt que pour leur ressenti personnel et la découverte des lieux, ils viennent avant tout pour satisfaire leur orgueil construit sur ce qu'ils ont fait de "tendance": cela se remarque dans leur rapports de voyage: on voit  eux dans le décors, et non pas le paysage. On ne vend plus en effet la destination-aimée mais l'appartenance à un type de personnage "tendance" auquel s'identifier en adoptant son "mode de consommation". Le pire c'est que ça marche... On a fait ainsi venir des "nouveaux".

.."Oui c'est vrai, nous le sentons aussi à la Maison du Volcan, l'ambiance a changé ce n'est plus les mêmes touristes" remarque un universitaire préparant une expo.
 

L'envie de rester.? Les hôteliers se remettent en cause.! Cela viendrait de leur hôtel, du manque d'animation.?
Et si ça venait tout simplement de L'ENVIRONNEMENT, du cadre-de-vie, du marketing commercial, de la toxicité de "l'air" que l'on respire ici ?

clin d'oeil sur un autre exemple de dérive touristique (loin, loin de CILAOS)
Le rapport? c'est l'exemple d'usine à touristes en tant que parfaite leçon de ce qu'il ne faut pas reproduire ici...

Depuis décembre 2013, le Bruit-aérien a largement augmenté et ce Bruit fréquent, parfois constant "enlaidit" tout le Cirque de CILAOS (au delà de 5 passages par matinée). Cette augmentation semble due aussi à une diversification des prestations et des tours d'hélico moins chers (baptèmes de 1/4 d'heure).
C'est une dégradation de la qualité-de-vie qui vient contredire tous les slogans de "bien-être" de CILAOS et donner une impression de zone-industrielle, où l'on fait tout et n'importe quoi, sans ligne de conduite, où tout le monde "s'en fout"...

CILAOS n'a pas le verni de Macchu-pichu qui attire de toute façon parce qu'il est la capitale d'une civilisation-ancienne... Notre première et seule ressource, ici, c'est la Qualité-de-vie au présent.!

Le touriste commence à avoir l'impression "bizarre" d'une Fause-note dans l'accompagnement de "la musique" (il sonnait à 7h50 sysmatiquement en duo-hélico, maintenant il sonne à 9h50 sauf le dimanche, à 5h50, pourquoi ça tombe sur ce jour là?!)...
Vient aussi une impression aussi de pacotille ou de floklore, comme dans tout lieu devenu TROP touristique. Le tourisme tue par là le tourisme.

Ça devient insupportable avec 400.000 touristes par an, et on parle d'augmenter à 1.000.000 par an, quitte à prospecter en Chine.

"Mais ça a toujours été comme ça... c'est du bizness".. Il n'est pas question d'interdire à tout affaire qui marche de croître librement.
C'est la "liberté d'entreprise".

Les thermes et la mairie de CILAOS ainsi que le Conseil-Général de la Réunion, continuent de décrire le Lieu comme idyllique, paradisiaque, "havre de paix, de calme et de détente", pour attirer les touristes, alors que CILAOS n'est plus ça du tout, que ce CILAOS n'est plus, est mort. C'est de moins en moins un lieu de ressourcement pour le touriste local!

"le cri d’alarme est simple : il faut simplement donner un nouvel élan à Cilaos et faire revenir les touristes locaux. "Je peux vous rassurer tout de suite qu’on n’est pas encore au chevet d’un Cilaos mourant, tient à rassurer le maire, "

Les décibels et le stress de la vie-urbaine envahissent dès 6 heures toutes ses matinées de beau-temps, et le repos ou la détente, les liens avec la Nature, la contemplation ou le ressourcement, l'écoute du chant des oiseaux ou descascades,n'y sont plus possibles, à travers tous ces Bruits qui très vite dans leurs répétitions, agressent, prennent et encombrent la tête, surchargent, fatiguent, épuisent, mettent en colère et font fuir. Certains font la remarque que le matin, c'est plus calme à St-Denis et qu'il vaut mieux pas venir à CILAOS pour se reposer! (en effet, à St Denis, une fois dans l'arrière cour d'une case, on peut rester au calme sans bruit-en-l'air)

"....les acteurs économiques de Cilaos s’intéressent ensemble au devenir du cirque". Leurs doléances sont présentées en quelques lignes : une campagne de communication pour sensibiliser le public local sur les atouts du cirque, les bienfaits des thermes...."

CILAOS contient une population gentille qui accepte tout ou n'ose pas se plaindre de peur peut être de perdre un ou des droits acquis ("mi fait l'habitude", "faut pas faire attention"), mais le Bruit pèse sur les habitants quoiqu'ils disent. En plus cela perturbe les oiseaux, surtout ceux de l'île, mettant notre Patrimoine en danger.: un grand nombre d'oiseaux-endémiques ne chantent plus le matin entre 6h30 et 9h30 laissant ainsi la place aux envahisseurs, qui transporteront d'autres graines, propageront d'autres végétaux. Le Parc-National et l'UNESCO ne semblent là que pour fournir des slogans-commerciaux à l'avantage des compagnies d'aéronefs

Les Cilaosiens ne mesurent pas la gravité du problème. L'ampleur qu'a le bruit aérien ne semble rien à coté du bruit de la ville à proximité. Les mesures d'émergence acoustique démontrent pourtant que c'est des milliers de fois plus fort, et en plus c'est PARTOUT dans la nature, et non pas seulement dans le "tissu urbain". Si "ça ne dure qu'un temps, c'est 3 à 5 heures par jour tout de même qui correspondent à "tout le bon" de la matinée...

Pareillement qu'à Cilaos, forêts primaires, plateaux, ravines profondes, tous les hauts de l'île sont "urbanisés" ainsi tous les jours. Cela ne peut pas rester sans incidence sur ces forêts qui ne sont plus du tout naturelles durant "tout le bon de la matinée!"...

Est accepté ici ce qui serait un scandale ailleurs: le sacrifice d'un paysage voué au tourisme-aérien. Tout cela se fait dans l'endoctrinement pour l'Économie où tout est sacrifié au seul rendement, sans réussir à protéger le cadre-de-vie d'un Peuple et d'une Faune qui est la valeur essentielle d'une île au patrimoine unique au Monde.

Depuis quelques années, l'ambiance à CILAOS se dégrade aussi à terre. C'est, depuis 2010 de nouveau de plus en plus "sâle" dans les chemins (jamais égalé à ce point vers le Bassin-Bleu ou la Cascade Bras-Rouge), tous les touristes sans exception s'en plaignent...

Ce comportement de "bandcochon" concernerait 5 à 10% de la population, que ce soit locaux ou visiteurs.
C'est aussi BRUYANT et le Bruit est aussi une "saleté" dans les sentiers à cause des avions ULM et des Hélicos qui transportent et amusent justement ces 10% des touristes qui ne sont pas gêné de survoler les lieux.

Dans la ville nous ressentons une perte d'authenticité, à travers des mises en avant, du paraître et du superflu à se vautrer dans l'espace-publique et le remplir, sans que ce soit véritablement un art ou un confort de vie.

Installation de nouvelles fontaines déjà en décrépitude à peines finies, tout en laissant en ruines de superbes éléments du patrimoine (le Petit-séminaire, l'hôtel-des-thermes, les anciens-thermes): cela fait de l'ombre à ce qui est réellement réussi, car il y a des belles réalisations (le jardin de l'église, la place de l'église, de jour, et l'éclairage de la Mare-à-Joncs). Le clou du spectacle est ce mur-béton de soutènement constuit ou cette "cité en construction" non terminée, au nord de la Mare-à-Joncs!!!

Village-créole des Hauts, jadis "Havre de paix, de calme et de détente" qui tend de plus en plus à devenir une ville industrielle et sale où la corruption pour abuser de l'argent publique devient... visible et audible:

À CILAOS, aujourd'hui, depuis ces transformations de fond, IL Y FAIT DE MOINS EN MOINS BON VIVRE, N'EST AUJOURD'HUI PLUS JUSTE QU'A VOIR, A TRAVERSER EN COUP DE VENT, Y RESTER LE MOINS LONGTEMPS POSSIBLE.

Dans les bas cela est peut être bien pire... mais le fait est que cette "pourriture des bas" atteint maintenant CILAOS Tout cela est perçu... désolé de vous le dire franchement, comme une urbanisation de "république-bananière" qui dégrade, salit notre magnifique village-créole des Hauts qui n'est plus imaculé, malgré la blancheur magique de "Notre Dame Des Neiges".

Actuellement dégradé est... CILAOS jusque dans son âme.... pour un prétendu développement-économique qui fait rêver... .
Les cilaosiens vivent avec l'illusion qu'une industrie rapporte en fonction du Bruit, comme un motard sur sa petite-moto à échappement-libre..

Les Hélicoptères de part leur Bruit donnent l'illusion d'une usine-à-touristes travaillant comme une ruche: "ça fait l'animation"... ça fait "commerce qui marche"... comme dans les bas: fric qui entre?
Même pas...

On reste curieux de voir CILAOS, mais il ne fait plus assez bon vivre pour y RESTER.?! 

Sur ce point il y a une enquête à faire: il semblerait que c'est le tourisme d'hôtel et "de luxe" qui baisse, mais pas encore le petit tourisme qui se contente de gîtes, voir de dortoirs qui restent pleins, saturés même. Ce sont donc les gens qui ont le plus besoin de confort qui bouderaient CILAOS?!
On apprend par TRIP ADVISOR que des clients d'un 4 étoiles de CILAOS ont été gênés... par le bruit des frigos (qu'ils débranchent pout dormir la nuit), par une certaine "froideur" des lieux, par un mauvais accueil. Il manque précisément le calme, la "chaleur humaine", tout au contraire de la réputation de l'île (qui s'effrite par là d'ailleurs)
Quand on débranche le frigo pour la nuit... qu'en est t'il du bruit des hélico le matin?! (et de beaucoup d'engins inutilement bruyants)

En dehors des horaires des raids-aériens et avant l'arrivée de la pluie, la ville de CILAOS garde l'attrait en restant un parking intéressant pour accéder aux montagnes et y trouver des sentiers bondés de monde, des bassins boueux, piétinés, avec la crême grasse provenant des crêmes solaires, qui fait une pellicule à la surface de l'eau.

Sur le point crottes, on a atteint les records: du jamais vu: quelque chose a changé: ce n'est plus le même peuple qui va randonner, mais visiblement des personnes qui ont pas l'habitude de marcher, et qui ne sont pas acclimatées mais qui voudraient randonner... D'ailleurs certains d'entre eux se sont perdus au volcan, confondant les papiers Q fréquents et à intervalle proches et réguliers, avec les points blancs du balisage du sentier, dans le brouillard!

A t'on envie de rester dans un pays dont les impasses, bouts de sentiers, GR, sont parfois des poubelles?

A t'on envie de rester dans un pays où l'on entend trop de bruit sans trouver le calme?

A-t-on envie (le courage) de passer une deuxième nuit à CILAOS quand on a été réveillé par un Hélico de tourisme avant 7h (parfois à 6h et des poussières), si ce n'est pas par un coupe-fil ou souffle-feuille bien matinal.

A-t-on envie de rester quand les animations sont faites à coup de kilowatts de sono qui prennent la tête et résonnent dans toute la forêt alentour.?

Les gens venus de la métropole sont fatigués le matin. Il faut plusieurs semaines pour se faire au décalage-horaire.: 6h du matin, c'est pour eux encore 3h du matin, physiologiquement.
Il y a aussi le mode de vie.: si animation il y a le soir, il faut récupérer le matin. Si on se couche à 22h, on se lève péniblement à 6h.
Prévoir des animations n'a pas de sens si on ne peut pas se reposer le matin.

Assez fréquent aussi à CILAOS.: l'installation pour une journée entière du groupe-électrogène avec la sono au "Plateau des chênes", ou bien à l'aire de pique-nique du sentier-Marla ou Fleur Jaune, qui se fait entendre dans tout le parcours d'une balade...

Voir CILAOS donnerait envie d'y aller, mais généralement c'est en fin de séjour que la plupart des touristes font le survol: ils ont entendu sans arrêt des hélicos et se disent qu'avant de partir "pourquoi pas le faire aussi". Celà engendre un tourisme "profiteur" qui part en laissant un gros déchet derrière lui: du bruit intense dans tous les hauts de l'île!

Un Hélico fait 6 places.. Mettons qu'on amène à CILAOS 100 touristes par jour.: ça fait assez de mouvements à subir pour gâcher la visite des 1000 autres touristes venus sur la place.!

C'est un problème de nombre.

Avoir la liberté de venir en Hélico serait défendable si il y avait 2 ou 3 mouvements "de temps en temps", pas plus, et pas d'autres touristes qui passent au dessus toute la matinée. Cela serait possible s'il n'y avait qu'une poignée de touristes se comptant sur les doigts de la main, une riche élite sélectionnée pour profiter d'un endroit calme une fois déposés...

12 touristes par jour ferait déjà 4 mouvements d'hélico chaque jour, de quoi déjà troubler l'ambiance d'un "havre de paix".

Nous avons actuellement dans le ciel environ 130 à 200 touristes par jour! résultat avec des appareils de 6 places au plus: plusieurs survols bruyants par heure ey le sacrifice de la jouissance des lieux.

On ne peut pas trouver de "bonnes solutions".avec une telle demande: trop de monde pouvant provoquer des nuisance: plus il y a du monde, plus nous devons baisser le rapport nuisances/nombre-de-personnes et il devient improbable d'utiliser des aéronefs de plus de 100 places...

La curiosité des touristes de voir d'en haut ce qu'ils ont fait est le motif principal du survol de CILAOS.: C'est pourquoi nous croyons à ce projet de visite par simulateur de survol.
Au lieu de s'ennuyer à CILAOS pendant la période nuageuse de l'après midi, il pourrait y avoir cette attraction qui consiste à explorer par films de drones les environs des sentiers pris la matinée, et d'explorer le terrain d'une prochaine ballade: de quoi avoir plus envie de rester et d'apprécier.