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dossier-helico
problématique hélico en "bref" (toujours trop long!)
page écrit en septembre 2016
Un
avion du modèle PA-28, immatriculé F-ODLS est
capable de faire, à lui seul, la nuisance sonore de plusieurs hélicos
bruyants se succédant (exemple le survol de 9h20 à 9h30 2 sept2016).
C'est un cas isolé qui perdure depuis des années malgré des coups de
téléphone pour avertir "ses copains" de l'aviation civile de l'en informer qu'il fasse attention: un petit avion mal
piloté qui provoque jusqu'à l'impact de 5 passages d'hélico en une
seule visite, pour une
ou 2 personnes qui "s'amusent": aussi fort qu'un hélico juste à coté, et ça dure plus longtemps.
C'est comme nous insulter, car
un avion de ce type, (à échappement libre, sans pôt d'échappement) peut
tout a fait éviter de
faire
autant de nuisances en parcourant ce site en descente sans mettre les
gazs à fond et tourner en rond. Des fois il
passe convenablement et a ainsi prouvé que si il veut il peut
passer sans trop faire
chier mais la
plupart du temps, "il nous chie dessus" en pétaradant joyeusement.
Fait
marquant d'août 2016 exemple de ce qui
ne devrait jamais se produire, le cas du dimanche matin 28 août:
des "attaques
aériennes" par temps bas et couvert (beau au dessus mais
tout de même presque bouché en début de matinée localement , presque
pluvieux). Du fait de l'usage d'un B4 (hélicoptère "silencieux" hélas BRUYANT en situation de turbulence)
les nuisances sonores explosent un degré au dessus: les touristes
veulent survoler on y va même par mauvais temps, histoire de ne pas annuler leur réservation.
La prestation "Cilaos
en 15mn depuis St-Pierre" et les prestations courtes augmentent la
répétition de passage, et provoquent des trajectoires encore plus
bruyantes (manoeuvre de demi tour, montée et descente rapide).
C'est une cause d'augmentation des
nuisances importante (surtout les prestations courtes en zone habitée et soumise à
résonnance), et là, en plus on se permet de voler par mauvaise météo
locale, mais en forçant le passage là où on ne le ferait pas pour un grand vol,
ce
qui permet des
trajectoires plus sonores dans des conditions où le bruit se propage
plus: c'est une
maximisation de nuisance extrême.
Ces comportements
et ces choix commerciaux ont démontré surtout l'incroyable mépris dont sont
capables
les pilotes et les compagnies qui "ont l'autorisation" de voler
selon des lois prévues pour des "transporteurs aériens", en plaine (sur
les cartes aéronautiques Cilaos est PLAT!)
En réalité c'est du
"tourisme sauvage en situation montagneuse" où c'est comme un impact de
proximité d'aérodromme en zone habitée.
On ne cherche même pas à limiter leur nuisances, par facilité.
L'autorisation de voler n'est pourtant pas celle de fouler au pied le
respect des habitants et des autres touristes. Il semble que
nous, en bas, n'existons
pas pour eux, et que nous ne méritons aucune attention dans cet espace
de vie qui est plus que violé...