Il est difficile de concevoir le maintient de l'organisation touristique actuelle,
- en
raison du bruit émis globalement pour si
peu de personnes profitant des prestations,
- en raison de la densité de
population,
- en raison de la faible superficie de cette île,
- en raison
des phénomènes de caisse de résonnance des cirques,
- en raison du besoin
de "quiétude dans les cirques, pitons, et remparts"..
Il est difficile de concevoir que le tourisme
aérien
puisse ainsi être servi
à des dizaines de milliers ou plus par an
sans une
révolution
globale jouant sur l'organisation, le choix de secteurs sacrifiés et préservés, la prise en compte de l'émergence acoustique.
Les
DRONES
permettraient de survoler virtuellement les sites les plus
sensibles (à forte émergence + habités + fréquentés + endémisme) alors exclus des routes aériennes pour, à la place alimenter
un musée-cinéma, tout en découplant l'affluence touristique du nombre
de survol.
Pour connaître la sensation de voler et les baptèmes de l'air en hélico
on
choisirait des endroits où personne peut aller par voie terrestre,
ailleurs il y aurait des
quotas, une adaptation du prix pour dégager plus de marge avec moins de
traffic, tandis que ULM ou avions moins sonores survolent les zones à
fort niveau de bruit ambiant sur le portour de l'île en exluant
l'intérieur... etc.
Fixer un cadre et des contraintes communes est solution que
n'aiment pas trop les pilotes des compagnies d'hélico
ou d'ULM évidemment qui veulent la liberté totale et exploiter tous les
sites au maximum. On a pu mesurer le rejet d'une telle idée: ici, "on"
n'en
veut tout simplement pas, d'autant plus
que le bruit n'est pas un problème...
Pour rendre le survol de l'île "populaire"
LE PIRE

8 à 10mn (rectification 25mn) de nuisance sonore par passage, 1 seul touriste, 60km/h...
Actuellement la solution la plus répandue


5-6 touristes par passage, 2 à 3mn de nuisances sonores et 230km/h, ce
qui nous donnait en 2014-2017entre 3 à 5 heures de perte de tranquilité
des lieux avec alors des passages à 6mn d'intervalle en moyenne!!!
évidement incompatible avec un tourisme de qualité ici bas.
LE TOURISME AÉRIEN NE SERAIT PAS UNE NUISANCE si le bruit occasionné
n'était pas envahissant, ne se produisait pas dans les lieux où sinon
le silence règne, et était seulement occasionnel: la solution est peut
être dans des dessertes locales en zones non résonnantes et en basse
altitude + survols global de l'île dans de plus rares gros engins.